Stefan est Growth Hacker. C’est un nouveau métier sur lequel il est tombé par nécessité lors du lancement de ses startups dans les domaines du coworking, agence digitale, player vidéo…. Pour ses différents projets entrepreneuriaux, il était difficile pour lui de trouver des manières ingénieuses de prospecter. C’est là que le Growth Hacking entre en jeu. Il s’agit d’un méthode de travail à 100% concentrée sur la croissance. Il peut s’agir de croissance commerciale, de génération de leads qualifiés, de traffic, de conversion ou d’utilisation selon le type de business et de besoins.
Pourquoi as-tu décidé de te mettre à ton compte ?
Je l’ai toujours eu en moi. Après des expériences mitigées en entreprise familiale et multi-nationale, je me suis rendu compte que le vrai luxe est de pouvoir choisir avec qui je travaille, en d’autres termes sélectionner les personnes avec qui je passe plus de 50% de ma vie. J’ajoute à cela l’incroyable plaisir de créer ce que je veux.
Quel est pour toi le plus grand avantage à travailler en freelance ?
Quelles difficultés rencontres-tu en tant que freelance que tu ne rencontrais pas en tant que salarié ?
A quoi ressemble ta journée de travail type ?
L’unité semaine est plus facile à gérer que l’unité jour pour moi, je m’organise en sprints de 2 semaines et entraine mes clients dans la boucle. Je m’explique : les sprints sont des périodes courtes pendant lesquelles on ne se concentre que sur une activité unique, ou bien un ensemble d’activité restreintes. Cela commence avec une phase de planification en équipe. Ensuite s’ensuivent des journées de travail pendant lesquelles, chaque matinée, on fait des « standup » autrement dit des réunions debout, parfois à 10 personnes ou chacun explique sa journée et sa tâche principale. Cela permet de s’aligner et de collaborer beaucoup plus efficacement. On termine par une grosse réunion de cloture appellée « Sprint Review », où l’on débriefe du sprint écoulé, ce que l’on a appris et ce que l’on va faire pour les deux semaines suivantes. Mes clients sont tous dubitatifs au départ et conquis ensuite. C’est une méthode de travail de développeur mais qui se marie très bien à ma manière de travailler ou j’ai besoin d’avoir un peu de pression pour être motivé.
Que pensent tes proches de ton statut ?
Si tu avais quelque chose à répondre aux personnes qui trouvent que « tu as beaucoup de chance », que leur dirais-tu ?
La chance n’est que 1% du résultat de mon bonheur. Elle ne sourit qu’à ceux qui y sont préparés. Si je suis dans une bonne position aujourd’hui, c’est parce que j’ai beaucoup ramé ces dernières années. Mais j’adore mon travail, ça valait le coup !
Une petite citation pour la fin… Quel est ton leitmotiv ?
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